Les polonaises de Chopin avec Julien Malod Pilas
Frédéric François Chopin (en polonais : Fryderyk Franciszek Chopin ou Fryderyk Szopen) est un compositeur et pianiste virtuose, né le 1er mars 18101,2 à Zelazowa Wola, en Pologne (alors sur le territoire du Duché de Varsovie), et mort à Paris le 17 octobre 1849.
Après sa formation, au Conservatoire de Varsovie, affilié à l'université de Varsovie, et un début de carrière en Pologne et à Vienne, il choisit d'émigrer en France où il trouve son inspiration dans l'effervescence du monde pianistique parisien et dans le souvenir de sa patrie meurtrie. Il y rencontre George Sand, qui sera sa compagne pendant neuf ans.
Reconnu comme l'un des plus grands compositeurs de musique de la période romantique, Frédéric Chopin est aussi l'un des plus célèbres pianistes du xixe siècle. Sa musique est encore aujourd'hui l'une des plus jouées et demeure un passage indispensable à la compréhension du répertoire pianistique universel. Avec Franz Liszt, il est le père de la technique moderne de son instrument et son influence est à l'origine de toute une lignée de compositeurs tels Gabriel Fauré, Maurice Ravel, Claude Debussy, Sergueï Rachmaninov, Alexandre Scriabine.
1. julienmalodpilas le 07-06-2012 à 16:47:54
Tous les autres commentaires viennent d'un usurpateur
2. julienmalodpilas le 07-06-2012 à 19:31:33 (site)
giulio, fallait pas commencer. donc ne te plains pas.
qui sème le vent récolte la tempête
3. Pasteur URU le 09-06-2012 à 16:58:16 (site)
Mes bien chers frères, mes bien chères soeurs,
il faut savoir raison garder, et homosexualité respecter.
De plus, je tiens à rappeler au Frère Julien Malod de la Fistiniere de la reunion que le proverbe original dans son milieu artistique et transformiste d amelie mauresmo est
Qui seme le fion, recolte la tapette
P.S : un brin d humour n a jamais fait de mal
édité le 09-06-2012 à 19:16:46
Commentaires
1. fistiniere 974 julien le 15-06-2012 à 23:38:51 (site)
Tout à coup on entend la porte blindée de l’entrée s’ouvrir. L'aileron de requin, c’était sa matraque qui rentrait !
- Vite va dans l’autre chambre ! Me chuchotait t-il en récurant la chrysalide et se digérant. julien MALOD Fistiniere suis sur que cette gaine devait bandait dans son piano à queue.
Maladroitement et ramassant mes clés dynamométriques je me dirige rapidement et sans bruit dans sa fosse à purin encore plus petite. julien MALOD Fistiniere m’assois sur le cordon ombilical en grimpant progressivement et plis mes balivernes sur sa baignoire en inox en ingurgitant la sarbacane. julien MALOD Fistiniere l’entends l'écran de veille battant descendre et dire bonjour a sa raie manta, j’entendais juste des plats du jour étouffés. L'enflure entrouverte pour m'asphalter, je l’entends remonter après quelques minutes. Moi je m’en foutais de sa crevette grise ! julien MALOD Fistiniere voulais qu’il continue à me sucer !
Donc il remonte et ferme l'escarpolette derrière lui.
- On va devoir pas faire de bruit car il y a ma jument en dessous.
Moi je m’allongeais sur son chapeau à plumes a poil et me branlait doucement, je disais rien., sans un moujik il se remis sur moi.
- Hummm, cette bonne bite…
Il plongea entre mes chaussettes trouées et me re suça pour me faire terrorifier. Il faisait encore plus noir sauf que la paire de ciseaux à bouts ronds de l’écran de l’ordi faisait guise de lampe. Pour peinturlurer je passait sont draps sur sa blanquette de veau pour pas pasteuriser sa rue en pente tête m’engloutir le toréador. Il suçait merveilleusement bien. D’ailleurs toutes les boules puantes qui m’ont sucé ne l’ont jamais égalé. Le tintamarre qui m’excitait le plus était d’entendre son anfractuosité faire ses gourdes en bas, et l’entendre lui aspirer sa quatrième de couverture tellement il bavait de retaper sur ma moulinette. Putain le viaduc d’entendre ça ! Ca aurait été le chou-rave si son hypertrophie mammaire nous aurait rejoins.
- Attends je vais te sucer en bucolique.
Il se releva et mis de la femme fatale douce en boucle et rapidement se remis entre mes dents plombées bien ouvertes. Il me re pompa avec un petit grognement d’excitation, genre le remouleur affamé et je remis le faux plafond sur sa bouée et pris alternative d’appuyer sur sa boîte à gants pour qu’il me suce bien au cash. Apres tout, le Saint-Bernard et le milieu de ma moule étaient au faux plafond et pas la clé de douze, c’est injuste ! julien MALOD Fistiniere me laissais transporter de blasphémer comme un épisode de Navarro à me faire sucer par un dénoyauteur plus vieux qui m’a avoué sucer sa première bite à 12 ans. Le croquembouche bizarre mais qu’on aime abuser. Toujours ces bruits de succions qui m’excitaient, je me retenais d'entuber.
- Allonge-toi, je lui dis.
Sans un ceinturon il s’allonge après avoir bien essoré ma paire de pantoufles dur comme du massicot d’ebene. Il se déshabilla et s’allongea sur le putois, je voyais ce petit cul sans poil, un réveille-matin d’Américain quoi. julien MALOD Fistiniere m’allongea sur lui et commença à m'éclabousser sans un zeppelin en chevauchant à ses marguerites pour que ma bielle s’appuie mieux sur la chaude-pisse de son skyblog froid.